Chroniques de la décadence tranquille
La dernière chronique à venir sera une sorte d'introduction à l'ensemble,
à partir d'un certain événement (sept.-oct. 2024)
Pourquoi voter ? (8)
Les "journalistes" (11)
Brûlons les riches (6)
Féminologie prospective (9p)
Haute littérature-1 (7p)
Haute littérature-2 (5p)
Le Ralliement (9p)
L'euthanasie résolue
Les Fonctionnaires (9p)
Pipi
Mai 1968 : l'imposture (7p)
Toujours le mariage des prêtres (6p)
Crise printanière
Dégénérescence d'une République... (7p)
Grève
Halte-là les pétroleuses ! (7p)
L'affaire Alstom (7p)
Le jour où j'ai découvert le mariage...
Oh ! Delphine (9p)
Syndrome d'Evergreen-1 (10p)
Syndrome d'Evergreen-2 (9p)
Viol conjugal
Remugles côté toilettes D.
Quand "Il" est "Elle"
Nazie et fière de l'être
Minettes prépubères
Les féministes-1 (8p)
Les féministes-2 (8p)
La Libre Pensée, ça existe encore ?
*
Le génocide paysan (6p)
La grande farce agricole (6p)
Crever la gueule ouverte (8p)
Nous retournerons a la terre (7p)
Le scandale des faux paysans (10p)
*
Utopie (9p)
Tueurs d'humanité... (7p)
Où sont les femmes ? (7p)
Préservons-nous du préservatif
Tartine Mariol fait de la politique
Lettre a un enseignant de gauche (5p)
Le marketing du pauvre (8p)
Le général qui n'aimait pas la guerre (8p)
Comment s'enrichir a gauche...
Vieux "c" de gauche (6p)
Névrose victimaire
Hystérie républicaine
Chantage humanitaire (7p)
L'homme de gauche (6p)
Médaille de la famille
Roule jeunesse (6p)
Hellfest (12p)
Bobologie appliquée (8p)
Dondons féminicoles
Délire lgbt
La mélenchonade du jour
A quoi reconnait on un gauchiste-1
A quoi reconnait on un gauchiste-2
Avoir les yeux ouverts
Paroles en l'air ?
Carter, dis bonjour a papa !
La bisounourserie
Femme en danger (10p)
Le triomphe de la culture de mort (9p)
Être journaliste (6p)
C'était le FAMAS (9p)
Cinoche (8)
Manufrancais toujours (9p)
L'entreprise a-t-elle un avenir ? (10p)
Arrêtons le massacre de Paris (9)
Affirmer sa foi
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Le Bouquet final (14)
Chroniques de la décadence tranquille : un titre pour montrer l’effondrement de notre civilisation française et européenne. Cela ne s’est pas manifesté brutalement, tel un coup de grisou de type 1789 qui emporte tout, mais par petites touches, un effilochement insensible, presque imperceptible et joyeux au fil des décennies précédentes, avec cette tranquille assurance qu’il ne peut rien se passer dans notre merveilleuse société matérialiste du vide et du néant, où, nous autres Français, tout occupés que nous sommes à consommer, avons oublié, voire passé par-dessus bord, ce qui constitue une civilisation digne de ce nom ; et cela sans s’apercevoir que dans notre dos le mal progressait à notre insu de jour en jour, jusqu’au choc fatal d’une confrontation brutale avec le réel. Lequel se rappelle toujours, à un moment ou à l’autre, au bon souvenir de ceux qui l’ont nié ou négligé.
Ces quelques chroniques (une soixantaine environ, se succédant de façon un peu aléatoire, dont certaines anciennes d’une trentaine d’années) exposent un cocktail de faits annonciateurs ne présageant rien de bon ni de radieux pour l’avenir proche du peuple français. Leur conjonction nous avertit au contraire d’une eschatologie imminente. Au diable les théories ! Ces constats pourront parfois paraître futiles, mais ne manqueront pas de stimuler la réflexion des plus lucides, comme de tous ceux qui refusent de vivre la tête dans le sable.