Ff6 4 bandeau2

Plateforme politique de Force Française
Volet-3

1. Dissolution et interdiction des organisations communautaristes étran­gères sous quelque forme que ce soit, politiques, culturelles, cultuelles, justifiant d’un prosélytisme activiste minoritaire sur le territoire Français.
La France n’est pas les États-Unis, pas davantage le monde anglo-saxon ; elle n’est pas un agrégat composite de minorités ethnocentrées et différenciées, formant un tissus d’arlequin populationnel. Il ne saurait y avoir de melting-pot à l’américaine. La France est le pays des Français de souche, une grande nation historique fondée sur la transmission et la filiation identitaire. La notion de minorité ethnique ou sociale n’existe pas dans la culture française et n’est pas dans son ADN. Ni dans son ARN.

2. L’islam et le judaïsme ne pouvant être considérés comme des religions seront interdites sur le territoire français.
Non, l’islam et le judaïsme ne sont pas des religions mais des organisations criminelles d’État fondées dans les temps anciens sur un détournement de l’idée de Dieu, à des fins de manipulation guerrière et de fanatisation des peuples hébreux comme musulmans. Ces « religions » s’appuient respectivement sur leurs ouvrages fondateurs, le Coran et la Bible (AT, Pentateuque ou Torah pour les Juifs), ouvrages potentiellement porteurs de haine et de violence à l’égard de tous ceux qui ne se soumettent pas à leurs « religions ». L’un et l’autre sont des commandements de tuer. Moïse, Mahomet, présentés comme des prophètes ou des représentants de Dieu sur terre, sont avant tout des chefs de guerre agissant selon la volonté de leur Dieu respectif, Yahvé et Allah, dans un but déterminé de conquête et de domination. En aucun cas ils ne peuvent être comparés à Jésus-Christ. Autrement dit, s’ils tuent ou font tuer, ce n’est pas de leur propre volonté, mais par la volonté de Dieu, par autorité divine qu’ils s’exécutent. Il ne peut exister un Dieu exigeant de tuer ses propres créatures en son nom ; cela ne se peut pas, cela n’existe pas. Une stratégie de légitimation du crime par le divin ; un confusionnisme scandaleux entre le temporel et le spirituel.

L’islam et le judaïsme ne sont pas des religions mais des idéologies, chacune formant une théocratie politique monothéiste, en aucun cas des « religions » au sens occidental du terme. Elles s’inspirent en partie des sociétés paganistes préchristiques. L’islam peut être considéré comme une extrapolation exacerbée du judaïsme. Si cela peut rassurer leurs adeptes, la République française est une organisation criminelle d’État au même titre que le judaïsme et l’islam, mais au nom de la laïcité ou franc-maçonnerie, véritable « religion » de la République ; cela se vérifie tous les jours depuis 1789. Si religion il y a, il n’en existe qu’une et une seule : la religion du Christ ; sinon, on a affaire à des idéologies sectaires (pléonasme licite ou périssologie).

3. Le pouvoir communautariste juif étant devenu une puissance factuelle exerçant une domination sectariste mettant en danger l’existence même de la nation française, la communauté sera mise en demeure de quitter les lieux  si elle ne modifie pas clairement ses rapports avec la nation française.
Cette disposition en raison de l’influence délétère et pernicieuse du communauta­risme juif, et du mal considérable que cette communauté a fait à notre pays dans toute son histoire, surtout dans le demi-siècle passé, alors même que ses membres ont régulièrement imploré le secours de la France à divers âges, afin que celle-ci leur ouvre ses portes et les accueille en tant que réfugiés. Les Juifs, peuple victime ou peuple oppresseur ? La question a été posée de tous temps, et a fait objet de débats profonds dès les premiers âges (1).

—————————

1. Cette question se pose avec d’autant plus d’acuité que si les Juifs de France exigent la reconnaissance nationale pour leurs propres martyrs au nom de la Shoa, par contre ils s’estiment déliés de toute reconnaissance au nom de la même solidarité nationale envers le martyre des Français civils ou militaires victimes de guerre, victimes des bombardements anglo-américains, du STO ou de la déportation massive des prisonniers, de l’épuration, etc. Ajoutons à cela leur propension frénétique à abuser de leur statut de victimes éternelles afin d’exercer un chantage permanent à la censure, et faire taire pénalement quiconque n’est pas politiquement correct à leur égard.   

4. Dissolution du Squad israélite qui encadre le Gouvernement français depuis plus de quarante ans, responsable de la perte de notre souveraineté nationale et de la plongée de la France dans les abîmes de la décadence.
Sont particulièrement visées des personnalités exposées ou non comme MM. Attali Jacques et Bernard, Minc, B.-H. Lévy, Fabius, Jack Lang, Cohn-Bendit, Weinberg, etc.

5. Interdiction aux élus de la République et autres hauts fonctionnaires de l’État français de toute participation en titre au dîner communautariste annuel du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France).
Imaginerait-on un instant la Conférence des évêques de France (CEF) organiser un magistral raout dînatoire à l’intention d’invités politiques ou haut-fonctionnaires de l’État au prix de 900€ la place, dont 800€ de dons remboursés à 66% par les contribuables français au titre de l’association (la communauté juive aurait donc besoin de dons publics ?) ; plus 100€ de repas. Il est vrai que l’Église catholique de France est tombée si bas que cela ne surprendrait pas. Et les laïcards dans tout cela où sont-ils ? Où sont donc passés les penseurs « libres » de la Libre pensée perdus de vue depuis qu’ils ne peuvent plus se réunir dans leurs cabines téléphoniques favorites ? Une chose est sûre : au moins on saura que le judaïsme, c’est à la fois la confusion du religieux, du politique, du juridique, les trois en un.

6. Les mosquées et synagogues édifiées sur le territoire français après 1962, considérées comme des centres de propagande et d’activisme politique contraires aux principes de souveraineté unitaire fondateurs de la nation française, seront rasées après dédommagement de convenance et récupération de leur contenu par les concernés.

Les synagogues subsistant en pierre de taille avant 1962 sur le territoire français pourront être démontées pour être reconstruites sur le territoire d’Israël.

7. Les Ambassades des Grande-Bretagne et des États-Unis seront transfé­rées dans le département de Seine-Saint-Denis (93).
Trop proches de l’Élysée, trop de proximité voire de contiguïté suspecte avec l’État profond américain, les ambassades seront transférées tant que l’opinion ne saura pas ce qui définit cet État dit profond, qui le compose, et en quoi il est habilité à agir au nom du peuple américain contre les autres peuples et nations non soumises à l’hégémonie US. La paix du monde dépend de la réponse.

Il est indéniable que l’influence anglo-saxonne sur la marche du monde se révèle à la longue scandaleuse, voire insupportable. Son modèle de société dite « ouverte » fondé sur le capitalisme judéo-protestant confit de puritanisme pharisien, et sur le brassage ethnique multiculturel et multiracial sans limites, sans considérations identitaires d’origine, sans légitimité historique et civilisationnelle, nourrit un désordre chaotique dans le monde entier. Dans ce département du « 93 » qui occupe la plus grande concentration d’étrangers extra-européens sur le sol français, et que les ambassadeurs anglo-saxons et leurs amis banquiers perçoivent comme l’idéal absolu du melting-pot à l’américaine transposé en France, ces derniers seront, n’en doutons pas, heureux de se retrouver dans l’ambiance nostalgique des nombreuses manifestations colorées imitées des bas quartiers de leurs propres pays.

§ 1,2,3,4,5,6,7 :

8. Force Française dénonce la météquisation des esprits.
La mentalité métèque est typiquement la mentalité de l’étranger résident qui se croit en pays conquis et, de surcroît, agit comme s’il s’estimait dispensé de respecter les lois, les mœurs, les coutumes, les traditions du pays d’accueil, sous prétexte qu’on ne respecte pas la culture de son pays d’origine. Le pire est sans doute qu’une quantité massive de Français de souche ont adopté cette mentalité par procuration ou par contamination, résultant le plus souvent d’une xénophilie culpabilisante mal placée : ils finissent par devenir étrangers à leur propre pays et métèques d’eux-mêmes (haine de soi). Quand on voit comment un individu comme le Président Macron, premier métèque de France, peut salir, mépriser, humilier la France et les Français, et qu’il obtient 73% des votes au second tour de la présidentielle 2022 dans la région Île-de-France (Paris intra 85%), il ne faut plus parler de l’Île-de-France mais de l’Île-aux-Métèques.

9. Sortie de la France de l’Union Européenne (Euroxit).
L’Union Européenne est une vaste fumisterie mondialiste destinée à piéger les peuples européens et à les asservir au profit de l’hégémonie américano-otanienne. Tous ces pays de la zone européenne sont voués à perdre leurs nations historiques, leurs territoires, leurs civilisations, leurs identités respectives pour être dissous dans un goulag orwellien. Ce ne sont pas les peuples qui doivent être dissous, mais l’Union Européenne elle-même, et pas seulement sur le plan institutionnel ; elle sera aussi rayée de la carte. Les bâtiments des super-fonctionnaires de l’UE seront détruits symboliquement au canon Caesar. Histoire d’humaniser ce canon français qui sert à tuer les Ukrainiens innocents qui ont été entraînés dans une terrible guerre qui leur a été imposée. Ainsi seront matériellement pulvérisés la Commission européenne de Bruxelles, le Parlement européen avec sa tour de Babel tronquée, et la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg. Exception sera faite pour la Cour Pénale Internationale de La Haye qui pourra servir.    

10. À quoi sert la Suisse ?
Entre ses montagnes, ses lacs, ses riantes et vertes vallées, la Suisse est un beau pays n’en doutons pas. Sauf qu’elle possède des caractéristiques qui posent questions. Elle a cette particularité qui lui est reconnue par la communauté internationale d’être le seul pays au monde à avoir un privilège de « neutralité perpétuelle ». Pourquoi la Suisse et pas un autre ? Parce qu’elle est le siège mondial  de la Croix-Rouge internationale ? Ne sommes-nous pas, là, devant la plus grave hypocrisie humaine qui soit ? Que signifie neutralité d’un pays quand la Suisse est aussi l’un des plus grands paradis fiscaux du monde, l’une des plus grandes places financières ? Que signifie la neutralité quand elle sert de refuge à tous les grands décideurs, tous les grands carnassiers mondiaux de la finance, mais aussi de planque à toutes les mafias cosmopolites et apatrides ? Quand elle est le siège de 750 ONG et autres fondations à vocation dites « humanitaires », dont la plupart sont des subterfuges au mondialisme en action, et d’une grande partie des agences de la plus grande ONG du monde, l’ONU ? Quand elle a aussi entre ses frontières, le Palais dit des Nations et son allée des drapeaux, expression abusive puisque le but non avoué de l’ONU, la mal nommée, est justement de préparer l’avènement de la république universelle et de dissoudre les nations… et leurs drapeaux ? Quand elle a encore en son sein une des plus grandes organisations voyoucratiques qui soient dans ses frontières, comme le Forum économique mondial (Davos-Coligny) ? Quand, en outre, au-delà d’être la plaque tournante des organisations mondialistes, elle tend à devenir quelque chose qui ressemblerait à un centre résidentiel sinon organisationnel du Nouvel Ordre Mondial : la Genève calviniste et Jérusalem l’israélite, capitales du monde ? Une hybridation pseudo religieuse qui ne nous est pas inconnue.

Si cela devait-être, il importerait à la France de prendre des dispositions pour annexer la partie francophone de la Suisse. Il n’est absolument pas envisageable que la langue française puisse devenir le support du totalitarisme mondial. Ou alors que cette néanmoins sympathique Confédération helvétique remplace la langue française par l’anglais, la langue des banquiers, des gangsters, du grand banditisme organisé. À noter que le même problème se pose à la partie francophone de la Belgique, la Wallonie, pouvant être éligible à son rattachement à la France par référendum, son statut territorial restant à déterminer.

11. Remettre sur les rails les femmes qui déraillent.
Nous entendons évoquer ces dames d’un genre particulier qu’on appelle féministes, de celles qui, au lieu de rouler sur les rails de la vie, tendent à rouler sur le ballast caillouteux de la décadence, provoquant, au passage des roues sur les traverses, des tressautements vibratoires susceptibles de leur retourner la cervelle ; au point d’en perdre le sens du bon sens… Ceci n’est pas une image, c’est une allégorie ! Et en plus elles font nombre, même si elles restent (très) minoritaires. Elles sont in-sup-por-ta-bles. Quand, dans une société, les femmes deviennent le problème là où l’on attendrait d’elles qu’elles soient la solution, cela veut dire que cette société est mortellement atteinte. Résumons en quelques lignes le problème. Premier constat, l’existence du phénomène féministe est inversement proportionnel au niveau de décadence de la société. Plus une société s’enfonce dans la décadence, plus le féminisme est élevé et accélère le phénomène ; l’on peut résumer l’apogée de cette pernicieuse évolution par l’apparition du wokisme et de toutes les inversions contre-nature. Deuxième constat la désertion des femmes du foyer familial ; nécessaire apport indispensable d’un second salaire ou non (émancipation, égoïsme féminin), peu importe, c’est un fait. Troisième constat, les femmes ne font plus d’enfants et ne renouvellent plus les générations autochtones. Quatrième constat, les femmes s’exposent trop, surtout là où l’on ne voudrait pas les voir exercer : dans le domaine très spécifique de la politique politicienne où elles frisent souvent le grotesque le plus achevé.

Elles tiennent, le plus souvent, des postes à responsabilités politiques relevant plus de la posture que de la fonction réelle où elles font semblant de se croire indispensables. La surreprésentation des femmes en politique est une catastrophe humaine tendant à l’affaissement, voire à l’effondrement, de nos sociétés dites modernes. La femme n’est ni libérée ni l’égale de l’homme : elle est conditionnée et asservie par les injonctions sociobiologiques et psychologiques propres à sa nature. Il ne manque pas de domaines multiples où elles excellent (déjà dans le fait d’être mère et épouse) sans avoir à ridiculiser leur sexe, voire à constituer une véritable menace pour la société.

Le féminisme se retrouve surtout dans le gauchisme, lui-même dérivé de l’anarchisme, du communisme, du socialisme ; il se manifeste de plus en plus à travers l’écologisme ou l’écoféminisme, voire l’écoterrorisme (détournement politique de l’écologie par des gens se revendiquant de la nature, tout en bafouant les lois qui régentent l’ordre naturel), ou le wokisme (expression du vide mental absolu) ; ces idéologies constituent l’essence même du républicanisme et conduisent au totalitarisme. Ce n’est pas de rêver à l’Utopie absolue, aboutissement d’un monde meilleur ou du meilleur des mondes qui libère de l’oppression ; c’est de combattre ses propres névroses qui dégradent moralement et asservissent l’être humain pour s’en libérer : le reste vient tout seul.

12. Interdiction des défilés de haute-couture.
C’est une banalité de dire que le monde de la haute-couture féminine est squatté par les homosexuels ; des créateurs qui méprisent la femme, l’humilient, l’animalisent, en faisant des mannequins des créatures d’épouvante. Il est temps de rendre aux femmes le monopole de l’habillement féminin ; elles savent mieux que n’importe quel homme ou prétendu tel ce qui leur convient le mieux pour s’habiller en toute décence, tout en n’hésitant pas à glisser le brin de coquetterie ou d’élégance qui singularise l’attrait de leur sexe, et dont elles ne sauraient légitimement se départir.  

13. Interdiction des gratte-ciel ou building sur le territoire français. Réduc­tion drastique des building existants à hauteur de 5/6 étages.
Comment a-t-on pu accepter, sans la remettre en question, la mode des gratte-ciel en France, car il s’agit bien de cela, d’une mode évidemment inspirée des États-Unis, que l’on peut comprendre à la rigueur à New-York, devenu à l’étroit sur sa presqu’île, mais que l’on ne comprend pas dans les univers urbains classiques ; à moins que cela ne relevât d’un complexe de supériorité phallique propre à manifester une volonté dominatrice, parce qu’on est situé plus haut que son voisin.

Pour nous français, nous pensons évidemment au quartier d’affaires de la Défense dont la laideur moderniste générale, vouée au seul culte de la fonctionnalité, de l’argent, du rendement, fait d’autant plus regretter le précédent plan d’aménagement symétrique du quartier parisien de l’Étoile, quand la France avait encore des notables fiables, des édiles représentatifs, des architectes de talent pour réfléchir et allier le beau au fonctionnel.

Quelles solutions pour effacer cette forêt de turgescences impudiques de verre et d’acier qui semble écraser l’observateur ? Réponses possibles : l’option Caesar ou les retailler à hauteur humaine, histoire de faire redescendre sur terre ceux qui influencent ou dirigent la France, l’Europe, et ainsi les rappeler à l’humble et édifiante réalité du plancher des vaches, qui possède l’extraordinaire vertu de nous mettre en assonance mémorielle avec l’esprit et le bon sens de nos anciens.

14. Raser le parc d’attraction Disneyland Paris.
Pas plus que le métissage des races et des cultures, la futilité intellectuelle et l’infantilisme invasifs anglo-saxons n’appartiennent à la tradition culturelle française. À la place de cette monumentale pâtisserie indigeste faite de béton multicolore et de rêves cotonneux, nous proposons la création d’une ferme biologique modèle. La surface circulaire du parc de 700 h environ, et son diamètre symbolique de 3,14 km, serait l’occasion de mettre à portée des Franciliens (et des enfants) une ferme expérimentale permettant de s’approvisionner en produits agricoles sains, frais et abordables. Quant aux Américains, ils seraient poliment invités à démonter leur parc d’attraction et à le transporter ailleurs que sur le territoire français.

15. Limiter la ville et repenser l’urbanisme en général.
Dénoncer ce qu’il faut bien appeler le salissement des zones urbaines par absence générale d’unité architecturale — à-la-va-comme-je-te-pousse —, limiter leur extension anarchique, entreprendre des programmes de nettoyage et de renaturation des environnements citadins immédiats, arrêter le mitage des paysages, renforcer les parcs naturels régionaux et nationaux, protéger le littoral et les milieux marins, les forêts (déboisement intensif, culture du manche à balais), les cours d’eaux, les sols malmenés par les remembrements sauvages des Trente glorieuses, où l’on a privilégié la monoculture industrielle à haut rendement calquée sur le modèle agro-industriel américain, et cela au détriment des meilleures façons culturales héritées de siècles d’expérience.

L’étiage démographique potentiel d’un pays comme la France se situe autour de 55 millions d’habitants. Il serait aujourd’hui dépassé de plus de dix millions d’âmes. Ce qui n’empêche pas nombre de sinistres et dangereux irresponsables de militer pour une France optimum de 130 millions d’habitants. D’où les proclamations triomphales des fonctionnaires de l’INSEE, égrenant régulièrement l’augmentation du nombre d’habitants à partir de chiffres dont on ignore totalement d’où ce fumeux institut de statistiques les a tirés, le recensement n’existant plus ou n’étant plus fiable.

Des dispositions seront prises pour faire baisser la pression du tourisme de masse qui tourne parfois à la saturation dans certains sites attractifs, allant jusqu’à importuner les habitants locaux, tant par les touristes en surnombre que par les marchands saisonniers.

16. Dresser un état des lieux concernant la prise de contrôle des entre­prises françaises par des capitaux étrangers dans tous les secteurs de l’activité industrielle et commerciale, que ces entreprises soient straté­giques ou d’authentiques fleurons de notre patrimoine industriel.
Un tel audit réalisé à l’échelle nationale pourrait nous réserver d’énormes surprises, dont probablement la plus amère à laquelle on doit s’attendre : nous confirmer que la France ne s’appartient plus et que sa prétendue souveraineté n’est plus qu’une illusion du passé. Il est vrai que la France, comme les autres pays européens déjà vassalisés très officiellement par les États-Unis, est piégée par l’Union Européenne, elle-même sous-filiale de l’hégémonie américaine. Devant le constat, là s’entendront pleurs et grincements de dents : trop tard ?

17. Arracher l’économie générale au capitalisme spéculatif
Le capitalisme en soi n’est pas condamnable : toute personne portant une montre à son poignet ou un téléphone portable est un capitaliste (qui s’ignore souvent) : le travail et le génie se rémunèrent. Ce qui est grave, c’est la transformation sous la pression des grandes oligarchies mondialistes du capitalisme marchand classique en capitalisme spéculatif et monopolistique, passant sans transition de l’économie générale de nécessité à une économie de casino où les joueurs habilités imposent leurs règles, et gagnent à tous les coups au détriment des peuples et des nations.

En finir avec les grandes concentrations financières et industrielles de type multinationales transfrontières, cosmopolites et apatrides, tendant à favoriser le plus souvent le marché financier que le client, où l’entreprise n’est plus liée par le respect du produit et son destinataire, mais au fait qu’elle doit se transformer impérativement en cash machine au bénéfice prioritaire de ses actionnaires (1). Ce phénomène est très prégnant dans les secteurs de l’économie de grande consommation, comme la grande distribution, la santé, l’agroalimentaire, les biens de première nécessité ; autrement dit, le client n’est plus le roi ; le roi, c’est l’actionnaire, c’est l’investisseur ; le client passera après… s’il en reste.
—————————

1. Ce phénomène tient en partie au fait que les grandes entreprises n’étant plus rattachées à leurs racines fondatrices sont devenues, en tant qu’entités commerciales, objet de toutes les spéculations sur les marchés cosmopolites de la Haute finance (Organisation Mondiale du Commerce, par ex.). De plus, les chefs d’entreprises, sauf exceptions, n’appartiennent plus à la filiation familiale (surtout en France !) ; les grands patrons sont le plus souvent gens nommés, donc tenus de rendre des comptes à des conseils d’administration desquels ils tiennent leur place, des administrateurs liés au monde de la finance dite anonyme et vagabonde, qui ont le pouvoir de faire passer l’entreprise d’une main à l’autre, selon leur intérêt, loin du giron stabilisant de la transmission familiale.

Il est important de souligner, en outre, que les grandes entreprises françaises sont de plus en plus contaminées par le modèle wokiste américain (féminisme, genrisme, diversité, équité, inclusion, etc.), lequel tend à gouroutiser l’entreprise, à la transformer en secte mondialiste comme les américains en raffolent. C’est un autre débat.

18. En finir avec le monopole syndical.
En finir avec cet insupportable monopole des syndicats dits « révolutionnaires », qui ont de surcroît le privilège d’avoir appartenu à la « Résistance » ou qui sont obligatoirement de gauche, privilèges qui interdit tout autre forme de syndicalisme d’exister. Des syndicats comme la CGT, courroie de transmission historique du Parti communiste en milieu ouvrier et fonctionnaire, ou comme la CFDT socialiste, FO porte drapeau du trotskisme, la CFTC chrétienne qui tient la chandelle, etc. La plupart de ces organisations syndicales, bénéficiant de scandaleux privilèges, ont largement contribué, par leurs outrances revendicatives et leur chantage récurrent à la grève, à surenchérir indéfiniment sur le coût de la vie sans jamais le faire baisser. Cela a entraîné le plus souvent la fermeture ou la délocalisation de nombreuses entreprises. Par leur jusqu’au-boutisme activiste, ils ont pourri la vie des citoyens plus qu’ils n’ont défendu la soi-disant classe ouvrière, laquelle n’existe pas et n’a jamais existé. Leur statut de monopole n’a pas été obtenu sans de fortes contreparties : leur aliénation à l’État socialo-communiste et leur soumission au grand patronat industriel, grâce au flot de subventions dont ils bénéficient, et à la circulation complaisante de valises baladeuses qui fluidifient les relations sociales (dixit le patronat). De plus, la protection monopolistique dont ils bénéficient des gouvernements républicains fait qu’ils sont parfois en totale roue libre, abusant de l’espace public, et laissant parfois transparaître des mœurs de gangs organisés relevant plus de nervis du système que de prétendus défenseurs représentatifs du petit peuple des travailleurs.

Il serait temps de réformer le syndicalisme, et d’autoriser d’autres formes d’action syndicale, autres que la confrontation systématique, comme le syndicalisme jaune, tentative de fondation syndicale dans un esprit collaboratif.

19. Reprendre langue voire nouer des liens préférentiels avec toutes les composantes de notre ancien Empire colonial.
Redresser les incroyables maladresses de nos dirigeants politiques, surtout au temps de la post-colonisation et de nos derniers Présidents, Sarkozy, Hollande, Macron ayant abondamment surajouté au désastre. Il apparaît de plus en plus clairement que nos anciennes possessions coloniales ont plus souffert de la décolonisation et de la post-colonisation que de la colonisation proprement dite. Rétablir des liens de confiance et de respect mutuel, établir des bases relationnelles fondées sur les intérêts bien compris de chacun, réparer les torts hérités de la colonisation républicaine, sans esprit de culpabilité ni revanchardise, mais avec la volonté d’acter la part de responsabilité de chacun et de les dépasser : les Africains eux-mêmes savent très bien que les difficultés actuelles de nombreux pays d’Afrique, dont l’Afrique francophone, ne sont pas de la seule responsabilité de la France.

Africains, ne rompez pas le lien qui nous unit historiquement, vous pays d’Afrique et nous peuple Français — et non la France-à-fric ! —, nous avons tant de choses en commun par l’esprit, par l’engagement mutuel tant économique que culturel, qui ne peuvent que nous aider à stabiliser nos relations et à progresser ensemble.

20. Remettre l’État français à sa place, rien que sa place.
Après dissolution de la République, tout l’effort de Force Française sera d’encourager le développement de la société civile, et de renforcer sa prééminence sur celle de l’État oppressif éléphantesue, mammouthsesque, d’obédience maçonnique (donc d’inverser la situation actuelle), puis de remettre en ordre les institutions dévoyées de leurs finalités originelles, et de faire le ménage dans toutes les organisations fictives faussement justifiées qui ne sont que des créations de complaisance politique intéressées, abondamment abreuvées de subventions et de financement publics.

Rappel de deux grands projets

21. La repaysanisation de l’espace rural Français.
Il ne s’agit pas ici de parler de bobos-gauchos, de rurbains, de néo-ruraux et autres citadins hors-sol, assoiffés de chlorophylle, en mal d’oxygénation ou de cadres paysagers bucoliques et régénératifs, mais bien de réenraciner des familles agricultrices paysannes, selon le principe d’autarcie pondérée de l’agriculture familiale de type polyculture-élevage qui a subsisté durant des siècles, avec les acquis d’une meilleure connaissance scientifique des sols (agrobiologie). Il s’agirait de soutenir ce retour à la terre pour revivifier le tissus rural, mais aussi contrer la stérilisation des sols cultivables provoquée par la pratique productiviste inconsidérée de la monoculture industrielle intensive (intrants chimiques, mécanisation à outrance, dévégétalisation de l’environnement des espaces arables au seul profit de la rentabilité, etc.), au point que nous nous sentons dans l’obligation de ne plus accorder le nom d’agriculteurs à ces producteurs industriels, mais celui de terrassiers agricoles ; tout cela sans compter le détournement des espaces ruraux au profit des activités de tourisme-loisirs.

Enfin il s’agit d’empêcher dans le même temps le mouvement de fond actuel qui commence à se propager depuis quelques années, consistant pour les grands prédateurs de la finance mondiale à s’emparer des terres agricoles à des fins de pure spéculation, particulièrement sur les produits de première nécessité et la nourriture de base. Il y a urgence à agir, et à extraire les productions vitales de toutes formes de spéculation. La République détruit décidément tout, tout, tout ; elle pourrit tout ce qu’elle touche, tout ce qu’elle approche, et ne maîtrise rien, comme d’habitude.

Réhabilitation de l’herboristerie médicale et des médecines naturelles les mieux adaptées au soutien immunitaire préventif de la santé humaine et animale.

22. L’usufructage.
Tout commence par la volonté de conférer à la France un statut de territoire sacré (espace souverain suprême, intouchable, inviolable). Ce qui veut dire que le territoire français est un espace collectif appartenant à la Nation (et non à l’État), autrement dit à tous les Français. Du même coup cela implique l’abolition de la propriété privée et de la nue-propriété, remplacées par la location-propre et la nue location-propre ; il y a donc un ripage de degré entre propriété et location-propre, l’une devenant collective et l’autre ayant valeur d’usage, mais rien ne change fondamentalement : la propriété privée devient location privée, et le bien pourra tout à fait normalement être distingué entre droit de location à usage personnel ou à usage utilitaire. Ce qui change, c’est que la propriété privée étant abolie au nom de la collectivité nationale, les citoyens français deviennent TOUS usufruitiers, d’où le nom d’usufructage. Cela pour protéger la France du pillage dont elle fait l’objet par des intérêts étrangers ou des accaparement locaux, tant en matière économique qu’en matière de biens culturels et patrimoniaux, les notions de bien privé ou public restant d’actualité.    

23. Processus de dérépublicanisation de l’État français.
Processus tendant à ramener le principe de laïcité et son interprétation républicaine en tant qu’idéologie, à sa définition purement sociologique désignant des personnes ou groupes de personnes non activement religieuses et croyantes. Débaptisation des rues et artères portant les noms des édiles républicains depuis la Révolution française. Après tout, ni les Rois ni les seigneurs, ni les nobles ne donnaient leur nom aux rues (odonymie). Au contraire, ils s’honoraient en méritant des noms de lieux. 

24. Soutien général à la cellule familiale nucléaire monogame à filiation patrilinéaire.
Fermeture immédiate du Planning dit « familial », interdiction de l’avortement parallèlement à la prise de dispositions d’accueil public pour sauver les enfants non désirés. Renforcement des lois punissant la pédocriminalité et toutes formes de prosélytisme contre-nature favorisant l’homosexualité et le genrisme.

25. Instauration d’une Journée de l’Innocence offensée.
Au même titre que la Fête des mères, la Journée de l’Innocence offensée, en hommage à l’enfance martyrisée, et en remplacement de l’hypocrite Journée internationale de l’enfant auquel on reconnaît tous les droits, sauf celui de naître ou pas selon les humeurs de sa marâtre, ou sous l’imperium de la perversion légalisée.

26. Réhabilitation et reconnaissance à titre posthume des Français honteu­se­ment ostracisés par l’État républicain.
Dont le Maréchal Pétain, le grand industriel Louis Renault, l’écrivain Robert Brasillach, etc., ainsi que nombre de nos compatriotes contemporains condamnés à la mort civique ou sociale pour cause d’attitudes publiques abusivement et arbitrairement jugées politiquement incorrectes.

27. Réhabilitation de la foi catholique officiellement reconnue comme co-fondatrice de la Nation Française.
Reconsécration officielle et solennelle de la nation française au christianisme fondateur, issu du Noble et Saint patronage de Notre Seigneur Jésus-Christ, sans lequel ni la France ni l’Europe n’auraient existé dans ce qu’elles ont eu de plus digne, d’élevé, de grandiose dans le cours de leur histoire. Comme proposé en V.-2, des Croix seront réinstallées dans les salles de classes primaires, les chambres d’hôpitaux publics, les salles d’audience.

28. Nouvelle devise de l’État français.
La fameuse devise trinitaire républicaine nous a toujours parue hypocrite, comme une abstraction idéologique inadaptée au monde réel. Nous pensions tout d’abord qu’une devise pour un État n’était pas du domaine de l’indispensable. Puis, avec le temps, les années passant, il nous est apparu que le triptyque ci-dessous était relativement universel en ce sens qu’en trois mots il sollicitait ce qu’il y a de meilleur en l’homme, tout en s’inscrivant dans l’universalité du monde concret : la beauté, la vérité, la justice.

Le beau.
Le beau en premier, le beau qui confine au sacré, élève et transcende la médiocrité, le laisser aller de la facilité ; le beau qui sollicite l’effort tendu vers le meilleur, le supérieur, en un mot, vers l’excellence.

Le vrai.
Le vrai qui s’oppose à la noirceur du mensonge et reflète l’expression du réel, le vrai et son doublet vérité qui s’appuient sur le factuel, le concret, le tangible, et ne confondent pas ce qui relève de l’imagination de ce qui relève de l’affabulation.

Le juste.
De ne pas confondre ce qui est égal avec ce qui est juste. Le juste est ce qui est équitable dans un rapport de proportion d’un possible à un autre possible, tandis que l’égalité n’est qu’un terme de la justice, non la justice en elle-même ; elle tend à imposer le nivellement par le bas, provoquant un arasement social et humain déshumanisant : c’est le principe même du communisme. Autrement dit, le juste n’est pas nécessairement ce qui est égal, et l’égal n’est pas nécessairement ce qui est juste.

Cette devise, le Beau, le Vrai, le Juste, emplit l’espace de la réalité authentiquement vécue, la seule capable de magnifier les rapports humains en société, et à tendre vers une harmonie acceptable, à tout le moins une paisibilité à vivre dans un monde qui ne connaît que bassesse, mensonge, trahison.

*

La Cause Finale

20 millions est le nombre d’étrangers qui devraient quitter la France. Seulement trois millions resteraient sur les vingt. Le processus étant inexorable. Il est évident que cela ne se fera pas au sort, mais nécessitera un triage serré et rigoureux selon des critères stricts préalablement définis. La présence des étrangers sur le territoire français, désormais sanctuarisé, sera contractualisée.

Disons-le tout d’abord, l’immigration n’a rien avoir avec de quelconques principes humanitaires sollicitant la compassion envers les populations déplacées issues des anciens pays dits du tiers monde ; nous nous trouvons en présence d’une formidable escroquerie humanitaire, d’un chantage au sentiment insupportable dans le but de faire accepter un processus de submersion migratoire imposé par des forces qui se veulent obscures, mais bien connues aujourd’hui ; processus qui vise à anéantir les peuples et les nations du monde occidental pour instaurer la dictature universelle sous le nom de Nouvel Ordre Mondial, le Great Reset n’étant qu’une des modalité de l’effacement des peuples. Une véritable multinationale sataniste de la haine du genre humain et d’annihilation de l’homme blanc enraciné, de préférence européen et chrétien, doit être impérativement mise en œuvre.

Dans l’Europe, la France et le peuple français de souche sont particulièrement ciblés. Celui-ci est victime d’une agression migratoire concertée relevant de la définition de crime contre l’humanité, au moins sur deux points : l’extermination de la population autochtone par oblitération, et la déportation sous forme d’invasion migratoire des peuples envahisseurs, qui, eux, relèvent plus précisément du trafic d’êtres humains. Dans ce processus bien précis, l’invasion migratoire est utilisée comme une arme de destruction massive visant à provoquer un formidable collapsus génocidaire ethnique, dans le but de dissoudre et de faire disparaître la population française blanche, de souche, d’anéantir le peu­plement légitime historique, un peuple enraciné depuis quinze siècles, fonda­teur d’une des plus brillantes civilisations au monde ; un peuple qui n’a plus rien à prouver parce qu’il a tout prouvé dans tous les domaines civilisationnels, même si, comme toute nation, la France a historiquement des reproches à se faire.

Le plan de dissolution des peuples de souche et enracinés par le métissage a été prémédité au plus haut niveau mondial et, pour le France, clairement annoncé par le Président Sarkozy, peut-être un peu trop vite, vendant la peau de l’ours prématurément ; mais il l’a formellement et très officiellement signifié à défaut de l’expliciter : 

« Et l’objectif, c’est relever le défi du métissage, défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Mesdames et Messieurs, c’est la dernière chance [??] ; si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore [Quelles méthodes plus contraignantes ?]. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation, c’est un impératif ! On ne peut pas faire autrement, au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables [Quels problèmes considérables ?]. Nous devons changer, alors nous allons changer. » (Palaiseau, 17 décembre 2008).

Évidemment, pas de débat, pas de discussions sur le sujet, pas de référendum ; le peuple français est systématiquement convoqué devant le fait accompli et prévenu : s’il ne se soumet pas, s’il n’accepte pas volontairement son propre suicide ethnique, ce sera la violence d’État.

Volontairement transformée en épave du salut version Radeau de la Méduse, la France n’a pas vocation à être le bureau d’aide sociale du monde ; elle n’est pas non plus un no man’s land (pays de personne) où chacun peut poser les pieds et tout se permettre, pas davantage un hall de gare où l’on croise des gens de peu et de rien (dixit E. Macron) ; pas plus qu’un hôtel de nomades, selon la prédiction du visionnaire Attali ; la France à encore moins vocation à récupérer les surplus de populations, dont les populations indésirables issues des prisons ou des éléments les plus « psychiatrisés » que rejettent les États orientaux et africains, les poussant volontairement vers les États européens (peu importe les conditions locales), avec le soutien et la complicité des États voyous à l’origine du processus, États-Unis en tête, et les organisations mondialistes dites ONG qui pullulent au sein de ces mêmes États.

La plupart des migrants, sans-papiers, clandestins, quémandeurs d’asile et autres touristes à demeure, sont dans l’ensemble plutôt jeunes, physiquement solides ; ils seraient plus utiles à se battre pour leur pays qu’à inonder l’Europe avec pour seule ambition de vivre d’aides sociales et de petits trafics. Il y a longtemps que les pays d’où ils viennent ne font plus partie du tiers-monde, si cette expression a encore un sens. Ces pays sont mêmes, pour certains, très avancés sur la voie du développement, avec un énorme potentiel d’avenir offrant beaucoup d’opportunités à leurs ressortissants ; et si l’on trouve dans nombre de ces pays des désordres intérieurs, alors qu’on regarde plutôt du côté de leurs dirigeants les plus corrompus et des conséquences du terrorisme islamique.

Il est évident que nous autres, patriotes nationalistes français, n’accepterons jamais de nous plier à cet insupportable chantage à l’immigration de masse qui porte atteinte à la dignité des peuples concernés, des deux côtés — envahisseurs et envahis —, chantage émotionnel cynique, odieux, criminel, qui participe de fait à la mise en esclavage de l’humanité au service des puissances mondialistes agissant dans l’ombre.

Et alors que nous professons notre foi catholique, qu’on ne vienne pas prendre à témoin le Christ à qui l’on fait dire trop souvent ce qu’il ne dit pas ; il a dit à ses disciples : allez, et enseignez les nations au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; il ne leur a pas dit : allez, et reconstituez Babel !

Soyez racistes en tant qu’expression de la normalité, soyez-le franchement comme je le suis moi, sans honte, ni culpabilité, sans haine ni esprit de ven­geance. (mars 2023)

Jean-Louis OMER

*

Soit ! Admettons. Pourriez-vous avoir l’amabilité de nous expliquer comment vous justifiez moralement cette saignée holocaustique d’allochtones jugés indésirables, que vous comptez évincer du territoire français ?

Beaucoup d’éléments de réponse, dont celui-ci, en priorité : ​​​​​​​

—————————
​​​​​​​Note. Quelques éléments de base pour bien comprendre notre positionnement. Le mot « race » vient de « racine » et désignait, au moins à partir du moyen âge, peut-être même avant, la famille comprise dans sa filiation généalogique, lignées propres aux grandes familles princières ou aristocratiques. Aujourd’hui, la généalogie est admise à l’usage de l’ensemble des populations. Le mot racine se comprend aussi au sens générique ou héréditaire ; dès 1155, il est employé au sens figuré de « principe, source, cause » ; « souche, origine (d’une personne) ». On retrouve le mot race sous diverses formes dans de nombreuses langues non latines. Le principe se retrouve dans des expressions du langage courant, toujours d’actualité : être de bonne race, c’est-à-dire de bonne naissance, de bonne famille, aussi dans « sale race ! », expression pour le moins peu gratifiante pour la ou les famille victimes de l’insulte.

Il en est de mêmes du mot « généreux » qui s’est affadi au fil des siècles pour perdre son sens originel qui vient de « genre » : « Ensemble d’êtres ou d’objets ayant la même origine ou liés par la similitude de leurs caractères. » Être généreux, c’est être de bon genre, d’extraction noble, de noble naissance, mais aussi avoir de nobles sentiments, être d’une grande noblesse d’âme. Notons deux définitions datées de race : 1480 rasse, « Ensemble des ascendants et des descendants d’une même famille, d’un même peuple » ; 1500, « Subdivision d’une espèce, à caractères héréditaires, représentée par un certain nombre d’individus ».

Remarque : Il est important de suspecter toutes les formes de dictionnaires et encyclopédies nouvelles ou mises à jour à partir des années 1960-1980. À partir de ces années, le gauchisme, par le biais des universités, va entrer force dans la presse et l’édition — entre autres ! —, et soumettre à la dictature des idéologies progressistes toutes les nouvelles éditions paraissant après ces dates. Donc, rester prudent et vérifier les dates d’édition. Voir également notre chronique « Le racisme est-il normal ? ».

Image trait3 1