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Positionnement politique général de FF

1. Anticommuniste. Le communisme s’est révélé comme nayant été qu’une monstrueuse machine violemment destructrice, conçue à l’origine pour embrigader le monde ouvrier (que les communistes humilient en le désignant « prolétariat » ou « classe ouvrière »), et à en faire une puissante machine d’agression, une machine à écraser les peuples sous le nom de « révolution » ; cette machine n’a été conçue qu’en haine de l’Occident chrétien pour le détruire, et imposer son idéologie totalitaire au service de la finance apatride et mondialiste. Le communisme qui n’a jamais disparu nous revient aujourd’hui sous le nom de Nouvel Ordre Mondial ou néocommunisme, authentique mondialocratie barbare et tyrannique.

2. Antisocialiste. Le socialisme, lui, est une énorme usine à fabriquer industriellement des fonctionnaires formatés dans le même moule d’asservissement matérialiste, et à produire des parasites sociaux qui ne sont que les résidus de l’ébavurage des moules scolaires, universitaires, médiatiques, culturels. Remarquons la répartition des tâches : au communisme les ouvriers, au socialisme les fonctionnaires. Les libéraux s’occupent des banques et de l’économie : à eux l’argent et les moyens, les deux autres se contentant de plonger les mains dans les caisses de l’État. La meilleure façon de détruire l’économie d’un pays est de prendre le contrôle des grandes organisations du travail, les syndicats (opposition dite contrôlée), puis de les opposer artificiellement au grand patronat, tant sur le plan syndical que politique, au bénéfice de celui-ci et de la haute finance internationale cosmopolite et apatride.

3. Antilibéral. Le libéralisme économique (qui se veut le nec plus ultra de la démocratie) n’est que le cache sexe idéologique de la financiarisation monopolistique et totalitaire de la nouvelle mondialocratie visant à asservir les peuples et à transformer l’activité économique en un vaste casino truqué à l’échelle planétaire, où ceux qui contrôlent les puissants feeders aspirant la monnaie, la font circuler à leur avantage, alimentent les grandes banques mondialisées et gagnent à tous les coups.

Communisme, socialisme, libéralisme ne sont que les trois piliers idéologiques de la République, dont le but est de générer des divisions et des oppositions factices parfois jusqu’aux luttes fratricides, afin d’entretenir l’illusion de la démocratie et tenir les peuples en mains.

Ce qu’il faut savoir et penser de la République

1. Il n’y a pas de droite en République. Cela n’existe pas. Dès l’instant où les révolutionnaires de 1789 ont détruit de fond en comble l’ordre ancien, l’ancienne monarchie royale ou Ancien Régime, c’est comme s’ils avaient amputé la France d’une grosse moitié de sa population (en réalité bien plus, tant ils étaient minoritaires) ; cette grosse moitié a été politiquement anéantie, scotomisée ; elle a survécu culturellement, tant bien que mal, sous le nom de Contrerévolution. La république n’a jamais été légitimée par le suffrage populaire ; elle n'a été imposée que par un seul moyen : le mensonge idéologique et la violence la plus extrême, les deux étant liés. Toute personne se revendiquant républicaine est nécessairement de gauche et appartient nécessairement à l’ordre bourgeois.

2. La République Française n’a de française que le nom. Elle est d’origine anglo-saxonne. Le système politicien républicain a été imposé comme un standard politique à toutes les nations du monde par l’extension impérialiste de la civilisation anglo-saxonne, à l’exception de quelques vagues monarchies locales. Il a été imposé à la France par un concours de circonstances historiques voulant qu’à la suite de l’intervention de La Fayette visant à soutenir la révolution américaine et aider les Américains à se débarrasser de la mère patrie anglaise, des plénipotentiaires américains vinrent porter la bonne parole en France, pour la remercier et la soutenir dans sa propre révolution. Les révolutionnaires français se sont emparés de ce système politique anglo-saxon, très apprécié des « philosophes des Lumières ». Pour faire croire à l’originalité de leur « génie », ils l’ont historiquement présenté comme un héritage de la République romaine sans faire la moindre référence au « modèle » anglo-saxon, lui-même déjà vaguement inspiré de la Rome antique pour la forme.

3. Mais d’où provient cette République anglo-saxonne ? Elle est une pure construction de la franc-maçonnerie anglaise, elle-même issue d’une conjonction entre le matérialisme protestant et le messianisme judéo-mosaïste des banquiers de la City de Londres, fondée sur une lecture sioniste de l’Ancien Testament et une référence commune à l’Argent-roi, source de pouvoir et de domination. La République s’est révélée comme le système politico-bancaire idéal pour protéger les intérêts de la classe bourgeoise affairiste, tout en entretenant les peuples dans l’illusion de la démocratie pour leur faire croire qu’ils sont libres et indépendants et que tout vient d’eux. Elle s’est nourrie au fil du temps d’innombrables idéologies tant fumeuses que délirantes pour tenter d'asservir les peuples, la plus spectaculaire, la plus sanglante, restant le marxisme et la révolution soviétique survenus un peu plus d’un siècle après la Révolution française.

4. Dans la seconde moitié du XVIII° siècle, cette franc-maçonnerie judéo-protestante a diffusé en France à une vitesse foudroyante son sectarisme idéologique, touchant à la fois les milieux de la bourgeoisie matérialiste et anticléricale, mais aussi, hélas, une fraction importante de l’aristocratie française en pleine décadence, voulant ignorer ou renier ce que furent les siècles prestigieux de sa condition. Les loges maçonniques, les sociétés de pensée, les salons, les chambres de lecture ont largement contribué à répandre l’idée républicaine, de la même façon qu’ils ont contribué à la multiplication des clubs jacobins (jacobinières) et à la diffusion du jacobinisme, précurseur du communisme bolchevique ; il a suffi en face d’un roi faible (Louis XVI), incapable de voir venir la tourmente révolutionnaire qui allait l’emporter, et de prendre les décisions urgentes que la situation imposait : c’en était fait de 1300 ans de monarchie ; treize siècles rayés d’un trait rouge sang de notre histoire nationale, uniquement pour être tombée sous l’emprise de la folie meurtrière d’individus sans foi ni loi livrés à eux-mêmes, et de politiciens improvisés, aventuriers, sectaires, brutaux, dénués de la moindre once de discernement.

5. Aujourd’hui, le « modèle » républicain arrive objectivement à bout de souffle. Il révèle de plus en plus sont véritable visage : la République n’est véritablement là que pour achever la marche forcée des peuples vers le Nouvel Ordre Mondial ; elle n’a jamais eu d’autres but que d’imposer par tous les moyens une république universelle qui n’est autre qu’une resucée du communisme ou néo-communisme rejeté par les peuples chrétiens d’Occident ; sauf que cette fois-ci, ce sont les financiers de la haute banque internationale et leurs féaux politiciens qui prennent directement les affaires en mains, à visages découverts, au lieu de les laisser aux incapables de type communiste union soviétique. Incapables pour incapables, leurs successeurs européens ne se révèlent pas mieux ni plus performants. Il faut dire que les progressistes de tous pays n’ont jamais accepté la chute du communisme que symbolisa dans le même temps, en 1989, la chute du mur de Berlin.

L’objectif est clair : la destruction de l’Occident chrétien, le démantèlement des « vieilles » nations européennes de tradition monarchique et catholique, dont la France particulièrement visée ; bref, la fameuse « table rase » célébrant le triomphe final des adorateurs du Veau d’or, symbole de la satanisation de l’espèce humaine, comme voulu dès le début des révolutions maçonniques.

Ce qu’il faut savoir de la France

6. La France est née de la conjonction providentielle de quatre hautes figures de son histoire : le roi des Francs Clovis 1er, l’archevêque de Reims saint Remi, la reine Clotilde, sainte Geneviève la grande patronne de Paris. Dès sa naissance, dès le berceau, la nation qui allait devenir la France est née sous le signe de la Croix. Une situation exceptionnelle autant qu’extraordinaire, dans une période de l’histoire de l’humanité qui voit l’effondrement de l’Empire romain, la survivance du paganisme et la prolifération des hérésies de toutes nature, dont l’arianisme qui domine sur le continent européen. Clovis, le Mérovingien, chef de la dynastie franque, sera le premier roi à embrasser la foi catholique et à se faire baptiser. On le sait aujourd’hui, il sera devenu chrétien autant par stratégie que par ses convictions profondes qu’il partageait avec son épouse Clotilde.

7. La France est donc une cofondation intervenue en l’an 496, un pacte fondateur conclu entre l’Église catholique gallo-romaine et un chef barbare, la première ayant consacré le second, roi très chrétien, sous l’autorité mystique de Jésus-Christ. Il sera le seul roi dans toute l’histoire de l’humanité à être ainsi élevé à la dignité de Lieutenant du Christ. Durant treize siècles, les rois de France ne dérogeront pas à la profession de foi des Francs. Les dynasties mérovingiennes et carolingiennes feront de l’Europe continentale une terre catholique, jusqu’à son éclatement intervenant avec les petits-fils de Charlemagne qui la partageront en trois royaumes (843).

8. Mais la France, c’est aussi une nation qui existe depuis 1500 ans. Elle est considérée comme la première nation constituée au monde (seule la « République » de Saint-Marin lui dispute cet honneur). Son passé exceptionnel, unique, riche de sa civilisation et de sa fidélité à la promesse de son baptême, a parfois dominé le monde, ce qui n’a pas empêché qu’elle soit le plus souvent enviée et imitée qu’exécrée. Nous le devons conjointement à nos rois de France relativement débonnaires comparativement à d’autres monarchies, et à l’autorité spirituelle et morale de l’Église catholique qui s’est révélée comme le ciment métaphysique ayant réalisé l’unité des nations européennes.

9. Ceci étant posé, la France, à l’opposé de l’arrogante et hégémonique Amérique du Nord présentée par ses Pères fondateurs et par les Pères pèlerins comme la Jérusalem Nouvelle, n’a pas pour vocation à donner des leçons au reste du monde, pas plus qu’elle en a à recevoir de quiconque. Elle entend établir de bonnes relations avec tous les peuples de la terre selon le principe ci-dessous. De bonnes relations avec les peuples ne signifie pas nécessairement de bonne relations avec les États. Nous ne confondons pas peuple avec État. Nous considérons le monde anglo-saxon comme très largement responsable des gravissimes malheurs auxquels la Planète dans son entier se trouve confrontée aujourd’hui. De ce fait, nous considérons que ce monde anglo-saxon d’essence judéo-protestante maçonnique appartient, dans son ensemble et par sa nature même, davantage au monde oriental qu’à l’Occident chrétien.

La France est catholique. Elle restera catholique.

Respect à tous les peuples du Monde
Respect réciproque de ceux-ci envers le peuple français

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