L’Antirépublique 1 et 2 n’est pas une thèse de plus sur un sujet ultra rebattu : la République… Pour la première fois, un « citoyen », patriote français, entreprend la contestation du système républicain jusque dans ses fondements ultimes et historiques ; il dénonce les méfaits de cette fausse idole, fausse démocratie, fausse organisation politique, mais porte ouverte à tous les fossoyeurs de la nation la plus ancienne du monde. Au rebours de l’ensemble des politiciens de l’établissement, de tout l’échiquier politique sans exception, ainsi que de la meute acharnée de ses partisans, l’auteur montre comment la République est en fait la couverture d’une multitude infinie d’organisations parasitaires de type corporatiste, associatif, ethnique, culturel, cultuel, apatride, etc., n’ayant aucune représentativité, aucune légitimité, autres que catégorielles, vivant au détriment de la société française, usant du syndrome de la diversité ainsi que du communautarisme cosmopolite pour dissoudre la nation française et œuvrer à sa destruction.
L’ensemble de ces organisations forme une force intermédiaire, une chape de plomb totalitaire – le Système –, qui fait de la République une médiocratie interlope, non la démocratie, encore moins la représentation populaire. Bien entendu le citoyen Français, pris en otage, est exclu du système, de même qu’il est exclu du droit à la parole, sauf à être agréé par celui-ci et à s’exprimer en son nom.
Il montre également comment la République se nourrit des contradictions engendrées par la culture de l’utopie dans sa confrontation tragique avec le réel ; une confrontation idéologique voulue pour brouiller les esprits, opposer artificiellement les Français, et entretenir nos compatriotes dans un état de sujétion permanente à l’égard de cette dictature mondialiste sournoise, de plus en plus visible et insupportable, imposée par le Nouvel Ordre Mondial.
Nous sommes à la croisée des chemins. De la Nation ou de la République, il en est une qui doit disparaître. Fasse le Ciel que ce ne soit pas la Nation française, notre cher et vieux pays, car ce serait le signal de sa fin, une fin définitive, sans espoir de retour. (205p., 208p.)
