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Plateforme politique de Force Française
Volet-1   

1. Abolition immédiate de la République.
Remplacée par un Conseil gouvernemental général à deux niveaux (chambres Haute et Basse)

Premier niveau, le Conseil National Régalien est chargé de veiller au cadre des lois, et de surveiller que les décisions gouvernementales ne nuisent pas à l’intérêt matériel et moral de la nation. Il coiffe et supervise le Conseil National Exécutif et a droit de veto, à ce titre, sur toutes décisions concernant la sécurité (armée, police), les finances, la justice, la diplomatie et la gestion du patrimoine national matériel et moral. Le Conseil National Régalien a valeur institutionnelle de long terme (en l’absence du Roi). 
Deuxième niveau, le Conseil National Exécutif gouverne et a la gestion générale de l’Administration publique (l'Étatau jour le jour. Il est dirigé par le Président du Conseil (nommé par la Roi ou les sénateurs) et comprend un certain nombre des Conseillers exécutifs (une quinzaine ?) habilités à agir dans le cadre de leurs strictes attributions gouvernementales. Il 
peut faire appel au référendum pour lever le veto. Il a également obligation de se plier aux directives issues de l’initiative nationale (mandat impératif). Seul le Sénat, représentatif de la voix locale sera maintenu, la notion de représentativité n’existant plus dès lors que la souveraineté du peuple est reconnue (référendum gouvernemental ou référendum populaire dinitiative civique.)

2. Rétablissement immédiat des frontières nationales.
Création d’un corps militaire spécialisé dans la surveillance et le contrôle des frontières terrestres et maritimes.

3. Rétablissement du droit du sang et suppression du droit du sol.

4. Suppression de la double nationalité.

5. Appel au Roi.

6. Dissolution de l’Assemblée Nationale, maintien du Sénat qui sera réformé.
Le rôle du Sénat sera dêtre la voix de la localité. Le peuple se passant désormais de représentants qui ne l’ont jamais vraiment représenté, mais qui représentent surtout les grandes oligarchies mondialistes apatrides et cosmopolites, ainsi que leurs relais locaux, dressés contre le peuple français. Les citoyens français nont pas besoin de ces soi-disant représentants du peuple qui ne pensent quà leur réélection et le trahissent en permanence, agissant du haut vers le bas plutôt que du bas vers le haut. La voix du peuple français sera directe.

7. Dissolution du Conseil Constitutionnel et du Conseil d’État.
Institutions typiques du gouvernement des juges et de l’état de droit. Pour en finir avec cette judiciarisation de la politique gouvernementale, comme si celui-ci éprouvait le besoin de faire systématiquement légitimer les lois par de pseudos sages acquis à sa cause. Un dispositif institutionnel qui ne contribue pas peu à entretenir un doute plus que raisonnable sur la réalité de la séparation des pouvoirs.

8. Abolition de la loi sur la liberté de la presse de juillet 1881.
On peut se demander légitimement si cette loi n’est pas devenue avec le temps, non une loi de liberté mais une loi liberticide de censure. On parle de loi pour encadrer la liberté de la presse : encadrée avec des barbelés et des miradors ? L’article premier dit : « L’imprimerie et la librairie sont libres ». Suivent 70 articles et autant et plus de paragraphes dinterdits multiples et divers qui conditionnent une liberté dexpression strictement surveillée plutôt que libre. Il est vrai que cette loi, pas plus ni moins que les autres, rejoint la problématique générale de l’immense marécage législatif qu’est la République française, qu’il faudra bien assécher un jour.

9. Loi de garantie civique autorisant et protégeant la liberté d’expression.
En remplacement de la loi de 1881 et selon les clauses d’exception suivantes : l’injure et la diffamation, la protection des enfants, des femmes, des personnalités assermentées, la propagande ou l’apologie se rapportant aux actes terroristes et aux atteintes aux bommes mœurs.

10. Référendum d’initiative civique.
RIC (Civique et non Citoyen : ne désigne pas la même chose), encore dit d'initiative populaire.

11. Recensement ethnique.
Recensement national de la population sur la base de la différenciation ethnique entre autochtones, étrangers ou extra-européens.

12. Traitement de l’immigration.
Après le Grand Remplacement, le Grand Retournement. Fini la France Club Méditerranée pour le tiers-monde animée par les Gentils Organisateurs d’extrême gauche soutenus avec des flots d’argent de l’État. Dispositions d’aide au retour appropriées selon remigration consentie ou non consentie.

13. Interdiction du métissage et des mariages mixtes.

14. Rétablissement de la peine de mort.

15. Audit général sur la montée de le criminalité touchant l’élément féminin.
Crimes et agressions perpétrés contre les femmes, récidives ou non, depuis la promulgation de la loi Badinter (1981).

16. Dissolution des compagnies républicaines de sécurité (CRS).

17. Dissolution du corps préfectoral.
Le Marteau oppresseur de la république. Bien que créés par Napoléon, les Préfets sont les descendants des sinistres envoyés en mission de la Convention (Robespierre) qui ont semé la terreur jusqu’au plus profond de nos campagnes. Ces envoyés, députés censés être des « représentants du peuple », se sont comportés pour la plupart comme des bourreaux sanguinaires. Le régime impérial n’ayant pas de représentation populaire, Napoléon a donc nommé ce corps de hauts fonctionnaires en remplacement. Il n’est pas inutile de souligner au passage combien la République n’a jamais été capable d’instaurer entre l’État et le peuple, entre son administration et les citoyens, des rapports autres que ceux d’un État administrativement procédurier et policier relevant plus d’une république bananière que de l’État d’une nation civilisé. En fait l’État républicain ne connaît pas son peuple ; il ne connaît que des administrés, des contribuables, des électeurs, la fonction publique ayant tendance à se considérer elle-même comme le peuple à la place du peuple.

18. Dissolution des polices municipales.
En remplacement, réhabilitation du corps des gardiens de la paix.

19. Restauration de la Police Nationale dans ses prérogatives institutionnelles.

20. Restauration de l’Armée française et de la Gendarmerie Nationale dans leurs prérogatives institutionnelles.
Rendre à l’Armée et à la police la considération de la nation et l’honneur d'être le bras armé qui défend le peuple français et non celui qui le frappe. 

21. Création d’un service de Défense nationale et d’Entraide civique.
Service civique hommes, femmes, obligatoire de trois ans, dont 8 mois d’instruction militaire réservé aux hommes, femmes uniquement sur volontariat.

22. Recréation d’une industrie nationale d’armement terrestre.
Repenser les arsenaux et évaluer leur potentiel, particulièrement dans larmement léger devenu totalement dépendant de fournisseurs étrangers.

23. Transformation de la propriété en patrimonialisation du domaine privé.
Cette transformation se fera par usufructage. Cela ne change rien à la propriété privée proprement dite, mais crée un cadre de protection patrimonial dans le domaine de l’héritage et de la transmission, indispensable pour mettre fin à la spéculation agressive et au pillage scandaleux du patrimoine français, y compris le patrimoine industriel et commercial, et empêcher que notre patrimoine national soit considéré dans son ensemble comme caution à l’endettement structurel et permanent de l’État républicain.

24. Suppression ou mitigation des droits de succession.

25. Audit général des entreprises françaises passées sous contrôle étranger.
État des lieux de toutes les entreprises et marques françaises contrôlées par des entreprises étrangères (toutes confondues).

26. Relocalisation nationale de l’économie de production à basse valeur ajoutée.

27. Tentative de récupération des divisions stratégiques énergie et transmission du groupe Alstom, reconstitution du conglomérat originel.

28. Dissolution du ministère de la Culture, dissolution des FRAC (Fond régional d'art contemporain).

29. Réhabilitation du ministère des Beaux-Arts. 
Réhabilitation et réappropriation du bon goût dans les arts : beauté, prestige, grandeur. Plus que jamais le beau, le vrai, le juste.

30. Réhabilitation des bibliothèques locales d’érudition.

31. Interdiction aux élus de tous niveaux de représentation de créer et subventionner des associations à vocation dites socio-culturelles, le plus souvent détournées de leur objectif pour servir de façades à la constitution de clientèles électorales. 

32. Création d’un système associatif d’initiative privée reconnu d'intérêt public relevant de la détermination personnelle, cofinancé par déduction fiscale.

33. Rétablissement de la diplomatie bilatérale dans un cadre multipolaire.

34. Sortie de la France de toutes les organisations supranationales à orientation mondialistes.
Dont l’OTAN (bras armé des États-Unis), l’ONU (esquisse de crypto gouvernement mondial), l’Union Européenne (filiale mondialiste vassalisée des États-Unis).

35. Création de la Confédération Internationale des Peuples du Monde.
En remplacement de l’ONU.

36. Création de la Confédération des Peuples Européens.
En remplacement du Conseil de l’Europe et de l’Union Européenne.

35. Interdiction aux clubs sportifs professionnels de se revendiquer d’une localité municipale.
Les clubs sportifs pourront faire référence à des sponsors ou à des amicales privées.

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