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Oui, ces sept personnages sont bien à l’origine de l’application du plan mondialiste de destruction systématique de la nation française, et de l’anéantissement du peuple français historique. Tous, je dis bien TOUS, sans exception, y ont contribué ou y contribuent, et ne font pas semblant. En tant que Chefs de l’État français et en qualité de Présidents de la République, leur cas relève de la justice d’exception, appelant des condamnation à titre posthume ou anthume : la dégradation civique ou indignité nationale, voire la dénaturalisation, avec en plus, pour ceux qui sont en vie, la saisie des biens personnels acquis en cours de mandats.

Le dossier d’accusation évidement ne peut pas être résumé dans ces pages, mais on peut en définir les grandes directions :

1 - L’invasion migratoire de masse, le regroupement familial, le grand remplacement (acté par M. Macron sous le nom de peuple nouveau), et la légalisation de l’avortement génocidaire aux fins de vider la France de son peuplement historique.

2 - L’avalanche de lois liberticides, la multiplication des actes de censure et dostracisation depuis la première loi Pleven de juillet 1972 ; loi mère dite « antiraciste » par inversion sémantique devant se comprendre comme loi ANTIFRANÇAISE, ainsi que toutes les lois aggravantes qui se succéderont dans les décennies suivantes, dont la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990.

3 - L’avalanche de lois sociétales tendant au bouleversement anthropologique de l’espèce humaine, visant à la destruction de la famille monogame à filiation patrilinéaire afin de livrer l’individu à l’État, et de le soumettre à sa puissance discrétionnaire, un individu dépouillé au final de sa personnalité, de son identité, de toute dignité humaine, et réduit à la seule satisfaction de ses instincts primaires.

4 - La fulgurante progression de l'insécurité publique à partir des années 1970, ramenant les villes françaises au niveau de la barbarie civile de certains États d'Amérique Latine, alors même que la France n'a pas l'excuse du trafic des plantes opiacées, et qu'elle ne conaît pas (encore ?) les niveaux de pauvreté structurelle de certains de ces pays.

5 - Le démantèlement de l’espace territorial français et sa dilution dans le magma soviétoïde de l’Union Européenne (espace totalitaire euro-soviétique n’ayant rien à voir avec les peuples européens légitimes).

6 - La perte de souveraineté de la nation française au profit du pandémonium européen de Bruxelles, filiale vassalisée des services secrets américains et de l’État profond US.

7 - La loi de janvier 1973 imposant le transfert des finances publiques (vos impôts) sur les marchés spéculatifs de la Haute finance internationale cosmopolite et apatride, avec recours abusif à la planche à billets, et à l’emprunt public extérieur massif et récurrent.

8 - La transformation de l’école publique, dite Éducation nationale, en une vaste entreprise de bourrage de crâne et de formatage des cerveaux de notre jeunesse, dans le but de soumettre au matraquage idéologique le futur adulte afin qu’il ne puisse mentalement jamais s’extraire des cadres posés par la tyrannie républicaine, et désirer autre chose que ce que l’État barbare a décidé pour lui.

9 - La mise à l’encan du patrimoine national comprenent l’héritage monumental et civilisationnel historique, ainsi que tout le haut potentiel technologique et industriel français (en forçant un peu, ils vendraient les Français avec) abandonnés à la spéculation financière internationale et aux grands cartels bancaires alliés aux oligarchies mondialistes.

10 - La destruction de l’agriculture paysanne de tradition au profit de l’industrialisation productiviste, de l'exploitation sauvage de la terre nourricière, et de l’artificialisation sans limites des espaces naturels plus que jamais soumis à la spéculation forcenée d'intérêts financiers apatrides.

11 - La mise en place d’un processus de déchristianisation forcée de la nation française visant à faire oublier son origine historique millénaire doublement royale et catholique, et à transformer l’Église catholique en une vague secte étatsunienne dite « évangélique », voire une vulgaire ONG à l’américaine servant de couverture aux agents du Nouvel Ordre Mondial.

On notera que parmi les centaines de décisions qui ont amené depuis plus de quarante ans à cette effrayante plongée infernale de l’État dans les abîmes de la décadence et même de la déchéance, conduisant inexorablement à la destruction systématique de la nation française, une seule a fait l’objet d’une consultation populaire par référendum : le traité de 2005 établissant une constitution pour l’Europe, rejeté par 55% des suffrages exprimés. Bafouant le résultat des urnes et la volonté du peuple français, le Président Sarkozy, trois ans plus tard, l’a faite passer, moyennant quelques retouches cosmétiques, par la voie parlementaire sous le nom de Traité de Lisbonne.

Parmi les trois noms de présidents encore en vie, laissant de côté François Hollande, le plus médiocre, francocide par pure bêtise, je retiendrai MM. Sarkozy et Macron, les plus pervers.

 

*

Extrait d’une de mes chroniques

(…) M. Sarkozy n’aura pas eu à se salir les mains, ses prédécesseurs de droite auront fait la sale besogne pour lui. Une fois élu avec les voix des catholiques, devant lesquels il n’a cessé de faire des appels du pied et des démonstrations d’attachement à la foi chrétienne alors qu’il est Juif, et que rien dans sa vie personnelle n’était de nature à en faire un catholique. Une fois les manettes du pouvoir en mains, il n’avait plus qu’à laisser faire et appuyer tranquillement sur la chanterelle.

27 septembre 2007. Discours d’ouverture de la 62e Assemblée générale de l’ONU : « C’est d’un nouvel état d’esprit dont le monde a besoin. C’est un véritable New Deal à l’échelle planétaire qui est nécessaire, un New Deal écologique et économique. Au nom de la France, j’appelle tous les États à se réunir pour fonder le Nouvel Ordre Mondial du XXIe siècle sur cette idée forte que les biens communs de l’humanité doivent être placés sous la responsabilité de l’humanité tout entière ».

M. Sarkozy fait, pour la première fois, publiquement allusion au Nouvel Ordre Mondial. Je me contenterai de poser cette question : qui sont-ils les responsables, ces soi-disant qui ont la responsabilité de l’humanité tout entière ?... Des noms !

Plus loin, il ajoute ceci : « Je veux dire au nom de la France, qu’il n’y aura pas de paix dans le monde sans le respect de la diversité, sans le respect des identités nationales, sans le respect – j’ose le mot – des religions et des croyances ; sans le respect des cultures ; l’attachement à sa foi ; à son identité ; à sa langue ; à sa Culture. À une façon de vivre, de penser, de croire. » Noter cette contradiction incroyable : dans le même discours il arrive à dire la chose et son contraire… Il nous étonnerait que le Nouvel Ordre Mondial ait le respect des identités nationales et des cultures ! Affirmer une chose et son contraire dans le même discours ou d’un discours à l’autre est le sport favori des élus de la République. Les électeurs apprécient et en redemandent.

— 23 Octobre 2008. Argonay, Haute-Savoie : « Cette crise (de la Haute finance internationale) marquera sans doute, pour l’histoire le commencement véritable du XXIe siècle. Le moment où tout le monde aura compris qu’il était temps de changer, temps de donner un nouveau visage à la mondialisation, temps de construire un Nouvel Ordre Mondial, politique, économique, social, assis sur de nouveaux principes et de nouvelles règles. Au nom de l’Europe, en tant que président [tournant] de l’Union Européenne, j’ai proposé que se tienne d’ici à la fin de l’année un sommet mondial pour que soient discutés et décidés ces nouveaux principes, ces nouvelles règles ; cette réunion, ce sommet, aura lieu aux États-Unis le 15 novembre prochain. »

Pour la deuxième fois, M. Sarkozy évoque clairement le Nouvel Ordre Mondial. Je pose la question : quels sont-ils ces principes et ces nouvelles règles ? Remarquons le fait que ce sommet mondial, devant se tenir aux États-Unis, est plus qu’un symbole : c’est une véritable reconnaissance du vassal à son suzerain, le signe de sa soumission en tant que Président en cours de l’Union Européenne !

— 16 janvier 2009. Vœux au corps diplomatique étranger : « …La crise est mondiale ; il faut que nous lui apportions une réponse mondiale ; j’en appelle à tous les gouvernements : aucun d’entre nous n’en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres. Aucun. Nous avons besoin du dynamisme de chacun pour deux choses : la première, trouver un nouveau système de régulation ; ça sera l’enjeu du sommet de Londres ; et je puis vous dire une chose : l’Europe aura une position commune, forte ; et je puis vous dire une deuxième chose : nous n’accepterons pas un sommet qui ne décidera pas ; je puis vous dire une troisième chose : on ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial ; et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer ; car à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes… » Pour la troisième fois le président Sarkozy évoque le Nouvel Ordre Mondial. Je pose la question : quelles sont-elles ces forces au service du changement qui sont si considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes ? On aimerait les connaître, ces forces…

— 14 janvier 2007. Congrès de l’UMP (donc de « droite ») : « Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création, demain, sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot... dans le métissage. » M. Sarkozy peut dire n’importe quoi devant les béni-oui-oui et autres cruches mentalement décérébrées de l’UMP (la droite républicaine), ceux-ci sont toujours prêts à applaudir leur champion, même quand il leur promet leur propre anéantissement ethnique, pour ne pas dire anthropologique !

— 17 décembre 2008. Discours sur l’égalité des chances et la diversité. Palaiseau. Il remet le couvert : « Quel est l’objectif ? Ça va faire parler… mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage… défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Ce n’est pas un choix… C’est une obligation, c’est un impératif, on ne peut pas faire autrement au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. Nous devons changer, alors nous allons changer ; on va changer partout en même temps : dans l’entreprise, dans les administrations, à l’éducation, dans les partis politiques, et on va se mettre des obligations de résultat. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudrait alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore. » Cette fois, c’est le recours explicite à la menace. On sent le coupeur de têtes qui se retient. On aimerait, là aussi, en savoir plus sur les méthodes plus contraignantes annoncées.

— Enfin, pour terminer, ce passage extrait de son livre Témoignage ; à ce moment-là, il était encore ministre de l’Intérieur. Je cite et commente au fur et à mesure : « Être français se définit à nouveau » (Objection : être français ne se définit pas à nouveau, mais se définit par son origine, son ascendance, sa lignée, et la naturalisation s’il y a lieu.) — « comme le fait d’aimer la France, ses valeurs éternelles, son destin exceptionnel, sa culture universelle » (Objection : qu’est-ce qu’il y a de nouveau, là-dedans ?). « C’est une France où l’expression “Français de souche” a disparu » (Objection : merci pour eux et accessoirement pour le Français de souche que je suis. Il y a déjà un nombre certain d’années que le l’ai compris et que je le vis quotidiennement : le Français de souche, le Français de France, le Français de terroir et de racine est à abattre ; que la chasse à l’homme commence !). « Où la diversité est comprise comme une richesse » (Objection : certainement une richesse qui enrichit la diversité — comprenons le métissage — mais appauvrit la France). « Où chacun accepte l’autre dans son identité et le respecte » (Objection : et ceux qui n’acceptent pas l’identité des Français de souche, et ne respectent pas ces derniers comme M. Sarkozy et dautres, que faut-il en penser ?). « Où la surenchère des mémoires s’incline devant l’égalité devenue enfin réalité » (Objection : qu’est-ce que la surenchère des mémoires qui s’incline ? Une explication est demandée). « Cette France, je l’ai appelée France d’après. » (Objection : les Français de souche qui ne sont donc plus la France d’après mais seulement la France d’avant, doivent-ils se féliciter que la guillotine ne soit plus un argument politique ?).

Voilà le personnage Sarkozy, voilà l’homme politique de « droite », le sauveur de la République, l’enfonceur de la France. Remarquons que seuls MM. Sarkozy et le Président Américain George Bush senior ont explicitement fait référence au Nouvel Ordre Mondial, les deux ayant été un peu vite en besogne, pensant que c’était déjà fait, et que l’affaire était dans le sac. Reconnaissons que M. Sarkozy aura eu au moins cette honnêteté d’annoncer la couleur, ce qui ne sera pas le cas de ses deux successeurs, Hollande et Macron, qui se sont contentés d’appliquer la politique du fait accompli : ni vu, ni connu, je t’embrouille !

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Quelques faits et dits de M. Macron

(1er quinquennat)

En meeting à Lyon, réitéré à Londres devant un parterre d’expatriés :

« Moi l'art français je ne l'ai jamais vuIl n’y a pas de culture française, il y a une culture en France. »

À un chômeur :

« La meilleure façon de vous payer un costard est de travailler »

Sur un plateau de télévison :

« Bien souvent, la vie d’un entrepreneur est plus dure que celle d’un salarié, il ne faut pas l’oublier. Il peut tout perdre, lui, et il a moins de garanties. »

Lors d’un salon à Las Vegas :

« Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaire »

À propos des voyages en autocar :

« Avec la relance des autocars, les pauvres voyageront plus facilement. »

Dans la société Gad, abattoir :

« Il y a dans cette société, une majorité de femmes, il y en a qui sont pour beaucoup illettrées. »

À un chômeur horticulteur :

« Je traverse la rue, et je vous en trouve du travail. »

Lors d’une visite en Grèce à propos d’une grève en France :

« Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes »

Les Gilets Jaunes :

« Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député ! » 

Une gare :

« Une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien. »

Lors de la traditionnelle galette des Rois (?) :

« Les troubles que notre société traverse sont aussi dus, liés, au fait que beaucoup trop de nos concitoyens pensent qu’on peut obtenir sans que cet effort (le travail) soit apporté. »

Devant les représentants des mutuelles :

« On met un pognon de dingue dans les minima sociaux et les gens sont toujours pauvres. »

À Alger, lors d’une interview :

« La colonisation, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie; »

Lors de la campagne électorale de la présidentielle 2022, il va chercher les électeurs chez les colonisateurs et s’adresse à « La grande famille des rapatriés », dont les Pieds-Noirs, afin de :

« Construire à terme une mémoire apaisée, partagée, commune à tout ce qu’ont été jusque-là les mémoires liées à la guerre d’Algérie et à la colonisation. »

Lors des festivités en l’honneur du 30° anniversaire de la Déclaration des Droits de l’enfant, réponse à une spécialiste de la question :

« Votre problème, c’est que vous considérez qu’un père c’est forcément un mâle. »

À l’occasion des travaux de rénovation de la Bibliothèque nationale.

« L’épicentre de la culture française n’est plus sur les rives de Seine, mais dans le bassin du fleuve Congo. »

À Montpellier, à l’occasion d’un sommet France-Afrique :

« La France a une dette envers l’Afrique… On ne peut pas avoir une France qui construit son propre roman national si elle n’assume pas sa part d’Africanité. »

À propos d’un entretien dans la revue bobo Zadig, Macron déclare :

« J’aime énormément la Seine-Saint-Denis [département comportant la plus grande concentration de population immigrée en France] ; il ne manque que la mer pour faire la Californie. »

En campagne présidentielle de 2022, il tente de dire qu’il aime cette France qu’il maltraite tant… Quel charabia ! Ou parler pour ne rien dire :

« Elle a une Histoire millénaire devant elle. » (?). C’est ça que je porterai. » « La France, c’est une Histoire folle constamment réécrite. » (?) « Elle regarde devant. C’est ça, la France. (?) « Ceux qui, par leurs projets et leurs ambitions, ont fait oublier les raisons qu’on avait de ne pas vivre ensemble. » (?)

Texto envoyé à Olivier Véran le monsieur Loyal du cirque covidesque, révélé par l’hebdomadaire Le Point :

« Tiens bon, on les aura ces connards ! » Les « connards » étant les non-vaccinés.

Le contenu de ce texto ne pouvait qu’amener quelques mois plus tard la cerise sur le gâteau. Le 3 janvier 2022 en pleine « pandémie » à propos du passe vaccinal et à trois mois de la Présidentielle :

« C’est une toute petite minorité qui est réfractaire [les non-vaccinés]. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l’emmerdant encore davantage. Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. Je peste toute la journée contre l’administration quand elle les bloque. Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer à le faire jusqu’au bout. »

L’art et la manière de déclasser au titre de non-citoyens les Français récalcitrants traités de « gaulois réfractaires » et « d’irresponsables » :

« Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »

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Lourdes

À Lourdes, un citoyen, excédé par le culot du personnage présidentiel, lui lance avant d’être fermement saisi et arrêté par la sécurité : « Honte à vous M. le Président ! Vous êtes un athée primaire. Vous n’avez aucune raison d’être ici. »

Il se trouve que Macron, en tournée de racolage électoral, était à la pêche aux voix catholiques au sein du sanctuaire marial (1), ce qui est contraire à la tradition républicaine, au respect du sacro-saint principe de laïcité — si j’ose dire en ces lieux saints. Il est le premier Chef d’État à violer ce principe. Certains ont objecté que Pétain avait créé le précédent. Sauf que le Maréchal était catholique et n’était pas républicain.

Chose incroyable, un pèlerinage en cours a été détourné pour former une haie d’honneur et applaudir le Président, puis l’accueillir dans un bain de foule ! Une photo prise du haut de l’immeuble de l’administration du sanctuaire montre clairement le sacrilège. Sur l’autre rive du Gave, on aperçoit la grotte délaissée par les pèlerins.

Pauvre sainte Bernadette Soubirous, qui, de Lourdes, s’était réfugiée à Nevers, quittant son pays natal et sa chère famille afin de ne pas avoir sous les yeux ce qu’elle pressentait : que le sanctuaire devienne un parc d’attraction et qu’elle-même ne soit transformée en marionnette de foire !

Allez, Bernadette ! Ton esprit est resté sauf, et ton souvenir suscite plus que jamais la dévotion de tant d’âmes humbles et contristées venues soulager leurs peines et leur souffrance aux pieds de la très sainte Vierge Marie.

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1. Selon le Président lui-même, il serait venu enfant plusieurs fois à Lourdes en compagnie de sa grand-mère maternelle, résidente du département (Hautes-Pyrénées). On ne peut pas dire que sa fréquentation des lieux saints ait fortifié chez le personnage une saine vision de la vie.

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Affaire des Algériens de Paris

Lors du soixantième anniversaire du 17 octobre 1961 commémorant les massacres d’Algériens à Paris, M. Macron s’est cru obligé de présider la cérémonie. Il rompait ainsi avec la tradition des Présidents de la République consistant à ne pas cautionner par leur présence une manifestation partisane, considérée à la limite de la légalité. Mais quand il s’agit de se montrer en toute occasion et d’être en permanence dans la repentance culpabilisatrice au nom du peuple français, rien ne l’arrête. Même pas dans son intervention, en parlant de « crimes inexcusables commis cette nuit-là » (sous l’autorité du préfet de police Maurice Papon).

Rappelons que la France était encore en pleine guerre d’Algérie ; le conflit prendra fin le 19 mars 1962 au lendemain des accords d’Évian. D’autre part, Le FLN algérien, classifié organisation terroriste, avait commis des milliers d’attentats sur le sol français.

Mais surtout, sans entrer dans le détail, M. Macron aurait dû examiner le rapport de la commission d’enquête mandatée à ce propos par le Premier ministre socialiste Lionel Jospin (ex-trotskiste), commission dont la rapporteur fut le conseiller d’État socialiste Mandelkern : on ne peut être plus à gauche pour traiter l’affaire algérienne. Monsieur Macron aurait-t-il pu entendre une autre vérité sur cette répression policière, un son de cloche autre qui sonne juste ? Mais est-il un mensonge qui peut arrêter M. Macron ?    

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G7 de Biarritz

Détricotage de la loi littoral-montagne de 1986 visant à limiter la protection de l’environnement au bénéfice des grands bétonniers du Cac 40 et autres promoteurs publics ou privés.

Projet de privatisation de l’Office National des Forêts au profit des spéculateurs et autres investisseurs de fonds.

Nomination par Macron de la pétroleuse ukrainienne Inna Chevtchenko comme membre du Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes. Cette lesbienne revendiquée est connue pour être la cheffe co-fondatrice du mouvement Femen, ces féministes hystériques et hurleuses dont l’arme de combat est de manifester dépoitraillées. Elle s’était déjà fait remarquer, entre autres, pour avoir investi avec un groupe de femen Notre-Dame de Paris, et fait résonner à coups de marteau des cloches en exposition, fraîchement restaurées. Elle s’est également distinguée à propos d’un timbre de la Poste émis à son effigie en Marianne de la jeunesse (sic), précisant : « Désormais, tous les homophobes, extrémistes, fascistes, devront lécher mon c.. pour envoyer une lettre » Introduite en France au titre de réfugiée « politique » sous la Présidence Hollande, elle était poursuivie par la justice ukrainienne pour avoir scié à la tronçonneuse un calvaire public du Christ en Croix, élevé en hommage aux victimes du communisme. Aurait-elle craint de subir dans son pays le même sort qu’elle a réservé à la Croix du Christ ? 

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Signature du Pacte mondial des migrations

Pacte dit de Marrakech visant à considérer les déplacements migratoires non plus comme une des conséquences tragiques de la guerre, mais comme un mouvement normal de déplacement des populations à l’échelle planétaire, auquel chaque signataire s’engage à tout mettre en œuvre pour l’accueil des migrants.

L’objectif 17 du pacte précise que les États s’engagent « à éliminer toutes les formes de discrimination et à condamner et combattre les expressions, les manifestations et les actes de racisme, de discrimination raciale, de violence et de xénophobie visant tous les migrants », notamment par des « campagnes de sensibilisation » du public. Il invite également les États signataires à « sensibiliser et informer les professionnels des médias sur les questions migratoires et la terminologie adaptée » et à « [cesser] d’allouer des fonds publics ou d’apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systémati­quement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants. »

Le pacte de Marrakech est l’officialisation du grand remplacement et du brouillage mondial des populations, désormais dépouillées de leur identité existentielle et de leur dignité d’êtres humains.

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Traité d’Aix-la-Chapelle, Macron-Merkel

Deux dispositions visant à :

  1. Encourager la coopération transfrontalière et renforcer les liens de part et d’autre de la frontière, notamment le rôle essentiel des collectivités territoriales.
  2. Accélérer le bilinguisme dans les territoires transfrontaliers.

Saisir l’intention réelle : dépêchons-nous de dissoudre les nations européennes et de faire disparaître les peuples autochtones, et imposons l’État totalitaire européen, ou le retour du communisme selon le modèle soviétique.

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Immigration

Dans un moment d’égarement et parce qu’il fallait bien dire quelque chose, M. Macron s’est intronisé champion de la lutte contre l’immigration. Et le nouveau champion de la lutte contre l’immigration — mais qui oublie de fermer les vannes causes de l’invasion migratoire — de préciser : « L’immigration est un sujet qu’il est temps de regarder en face (plus qu’un sujet, c’est un drame national !). Il faut préparer les Français aux défis qui font peur. Les bourgeois n’ont pas de problème avec cela : ils ne la croisent pas. Les classes populaires vivent avec. » Et alors ?... On fait quoi ? Comme d’habitude, rien ; comme la violence de rue, comme l’insécurité permanente, on laisse faire les choses. Et comme toujours, on parle, on jacte, on fait de la com’ pour ne rien dire, pour ne rien faire ou faire mal : l’art d’assener la chose et son contraire ou le « en même temps » passe-partout, afin de contenter tout le monde sans avoir à se dédire.

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État profond

M. macron s’est penché sur l’État profond. Alors qu’il s’adressait à l’Association de la presse présidentielle, suite de la visite de Vladimir Poutine au Fort de Brégançonlui qui est l’une des plus actives marionnettes de cet État profond : État profondément occulte, mondialiste, apatride, cosmopolite, sans frontières —, a employé par deux fois l’expression dans son entretien. Tiens donc ! Le Chef de l’État français confirmerait-il en personne l’existence d’un « État profond » en France auquel serait soumis l’État légitime visible aux yeux de tous ? Ce ne serait donc plus un ragot de complotistes ? Ou serait-il devenu complotiste lui-même ?

La presse aux ordres a paru surprise, feignant de croire qu’elle découvrait l’expression : « État profond », « Cette étonnante expression utilisée par Emmanuel Macron... » D’après cette presse peu « profonde », il aurait dû employer l’expression « État souterrain ». Il entendait ainsi parler de la Haute Administration de l’État français — dont le haut fonctionnaire qu’il est ne fait pas partie, évidemment —, Haute Administration qui se comporterait telle un État parallèle totalitaire, indépendant du pouvoir central légitime, ce que ne serait pas, là aussi on l’a compris, l’État français.

L’État profond dont M. Macron parle ne correspond en rien à la réalité. Il ne s’agit ici que des grands corps de l’État et de l’ensemble de la haute fonction publique. Le véritable État profond c’est évidemment le Nouvel Ordre Mondial et ses innombrables relais occultes à travers le monde de la finance et de la politique ramifiés au sein des États, et soutenus par l’ensemble des organismes de propagande locaux, fondations, ONG, mouvements associatifs subventionnés, syndicats, presse aux ordres, voire entreprises…

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Censure et harcèlement judiciaire

Dernier cadeau empoisonné (un parmi d’autres) que M. Macron laisse au peuple Français qu’il n’a jamais cessé d’« emmerder » (selon son propos publiquement exprimé) durant les cinq longues et pénibles années de sa première Présidence, est la mise en place de la commission Bronner pour lutter contre les fake news (fausses informations) et la désinformation, et réguler les plateformes numériques.

Derrière l’intégration de la loi pour l’installation par défaut du contrôle parental et la création du service Viginum contre les ingérences numériques étrangères, le rapport reprend quasiment l’intégralité de la Loi Avia contre les contenus « haineux » en ligne que le Conseil Constitutionnel avait retoquée, la vidant quasiment de son contenu.

Mais surtout, dans ses recommandations, il reprend la lutte contre les journaux ou organes de presse et réseaux sociaux selon le principe des Sleeping Giants, une officine anonyme d’origine judéo-américaine dénonçant les annonceurs faisant de la publicités dans la presse non-politiquement correcte. Il s’agit de faire pression auprès des gros comptes publicitaires. Du coup l’idée du gouvernement serait de reprendre la formule d’un point de vue judiciaire avec sanctions pénales à la clef, l’opération consistant de fait à mettre en œuvre une nouvelle loi de censure en usant d’une forme de chantage institutionnel.

En somme un dispositif de type rouleau compresseur contre la liberté d’expression, venant renforcer les nombreuses dispositions déjà existantes pour toujours plus censure et d’enferment social de l’individu.  

Après l’obligation vaccinale et le récent passe-vaccinal, il ne restera plus qu’à entourer les villes de barbelés, de miradors, et à placer des check point à chaque entrée. Si après cela nous ne sommes pas dans un système totalitaire, qu’est-ce que la Liberté sinon dans le sens orwellien ?

Attendons maintenant les nouveautés qui vont ne pas manquer d’arriver de l’Union Euro-Soviétique et du sieur Macron soi-même pour encager plus sûrement le peuple français, le faire taire, le brider plus que jamais. Dans la corbeille : la monnaie numérique, le crédit social ou hélicoptère monnaie, l’identification numérique… Puis voir ce qu’il en sera du septième-bis ou huitième Président de cette République bâtarde que l’on fait scandaleusement passer pour française — sous-entendu cette République qui n’a rien, mais alors strictement rien de français.

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Le point de départ de cette analyse étant Mai 68, faut-il inclure de Gaulle dans la galerie ? Pour résumer, de Gaulle c’est 50/50 de bonne et mauvaise part. Si dans la bonne part, on concédera aisément la stature internationale de l’homme, la mauvaise part est en revanche très mauvaise : d’abord le lâchage en rase campagne de l’Empire colonial français dans des conditions honteuses et désastreuses pour les deux parties ; puis, entre autres, l’introduction des communistes dans l’appareil d’État, particulièrement en élevant le déserteur, saboteur et traître, Maurice Thorez, chef du Parti communiste, au rang de ministre d’État, ministre de la fonction publique, suite à de sombres tractations entre de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire, et Staline. De ce Thorez naîtra, en 1946, le fameux statut du même nom (renforcé en 1983 par un autre communiste, Le Pors), lequel, 70 ans plus tard, fera de la fonction publique française une monstruosité étatique unique dans le monde occidental, et de l’État français un État cryptocommuniste. Autre mauvaise part à mettre au passif du gaullisme, la destruction de l’agriculture paysanne de tradition, la désertification des campagnes, et l’industrialisation productiviste à outrance de l’agriculture intensive moderne, calquée sur le modèle américain. Aucun de ses successeurs ne contreviendra à ces trahisons. Bien au contraire.Image trait3 1